CINEMODE MAGAZINE N°4 - Page 13 - Cinemode Magazine avec en couverture Tom Flex, Ludovic Baron, et pleins d'autres artistes. Nous vous souhaites bonne lecture. u nous présenter Tom x est un personnage table Looser, il connaît sous la pression fami- ation de l’entreprise de pa, Tom Flex débarque s un lycée hyper bran- y Justamérica, la belle s il y a un problème, us craquante et la plus tandis que Tom lui est r sa Loos’ attitude… ! nd remontent tes dé- e ? buts dans la musique e 5 ans au conserva- seigné l’art de la mu- A l’âge de 9 ans, mes idé de m’intégrer dans e musicale pour Ados. participé à 6 comédies adre de mon enseigne- re. ai été repéré pour in- la comédie musicale où j’ai joué Gavroche ris. Après cette belle p de choses ce sont nu un des 4 rôles prin- a » comédie musicale héâtre du gymnase et tés, avec une tournée ques zéniths français. bs et courts métrages, des théâtres parisiens gré l’école de Bruno it de formidables ren- et appris énormément ment le développement e. CINEMODE: Comment peux-tu qualifier ta musique ? THOMAS: Sur le projet « Tom Flex » je qualifierai ma musique comme « commer- ciale ». Et je l’A-SSUME. J’aime vraiment ce style de musique car une musique « commerciale » est efficace et quand j’en entends une à la radio, je ne peux que la retenir et je ne peux m’empê- cher de la chanter. J’adooore. CINEMODE: Ta carrière a un peu décollé, surtout avec des remixes. Comment cette ascension s’est déroulée ? Qu’as tu dû faire pour t’insérer dans le milieu ? THOMAS: Le premier remix a été pro- duit par Adrien Toma, Dj résident sur Fun Radio. Avec Ludovic mon producteur, on adore tout ce qu’il fait, c’est donc naturel- lement qu’un RDV a été pris avec Adrien, on lui a présenté le Radio Edit du single « Pour lui plaire » ainsi que les visuels totalement colorés et décalé du projet, et coup de chance, il a beaucoup aimé. Il a donc décidé de produire son remix. Et ensuite, tout s’est enchainé, on a eu beaucoup de demande de Dj’s qui vou- laient remixer le titre, dont Yanis.S qui lui aussi a fait son remix et la déposer sur un site spécialisé et à son grand étonnement le titre a eu 20.000 té- léchargements en seulement 4 jours. Per- sonne ne s’y attendait. CINEMODE: Combien de temps passes- tu sur un morceau ? THOMAS: Généralement, quand je reçois un titre de l’équipe des compositeurs et des auteurs, la production me laisse une semaine pour leur présenter quelque chose qui soit à l’image du pro- jet. Mais tout dépend de la complexité du titre. Il est déjà arrivé que je passe une semaine sur un morceau et que la proposition ne soit pas à la hauteur de ce Tom Flex (rire). CINEMODE: Tu es très proche de tes fans en organisant des concours avec hôtels, limousines etc...... C’est impor- tant pour toi ? THOMAS: Oh que oui, c’est même pri- mordiale à mes yeux. Il faut les chou- chouter, ils aiment notre travail, s’inves- tissent dans le projet, il est donc tout naturelle de les récompenser. Et puis ça donne vraiment une autre dimen- sion à l’aventure. Grâce à ces jeux, ils ont vraiment l’impression d’être avec Tom Flex, Kelly et l’équipe au quotidien. Etant petit je rêvais de voir l’envers du décors et d’être proche de mes idoles, aujourd’hui, grâce à internet, c’est possible, donc nous faisons tout pour être au plus proche d’eux. Nous allons même, pour les plus proches, jusqu’à les inviter dans les évènements. CINEMODE: Beaucoup de jeunes artistes ont essayé d’avancer dans le milieu de la musique mais n’ont pas vraiment réussi, comment tu penses t’y prendre ? THOMAS:Atitre personnel, je débarque dans l’industrie musicale, étant habi- tué aux comédies musicales, donc à la scène et aux expériences de troupe, c’est la première fois qu’une production développe un personnage, un single, un clip et une promotion autour de moi. continue ---> THOMAS: Je me laisse donc guidé par l’équipe de production, qui gère tout le développement promotionnel et la logistique de l’aventure. Et ce qui est génial, c’est que maintenant, j’ai l’occasion de voir comment tout ça se passe, et j’en tire une expé- rience enrichissante chaque jour. CINEMODE: Quel est ton regard sur la chanson Pour lui plaire en dehors du phénomène de la chanson ryth- mée ? THOMAS: Ce que j’aime dans cette chanson c’est sa légèreté et le fait qu’elle sonne très américain grâce à la voix de Melissa, une jeune chan- teuse New-Yorkaise, qui prête sa voix à Kelly dans le premier single. Et je me suis amusé à faire une cover acoustique du titre, et je me régale à la jouer et l’offrir aux fans lors des twitcams ou des interviews. CINEMODE: Tu restes plutot dans le répertoire français ou aussi bientôt en anglais? THOMAS: Pour le moment, nous restons sur des singles en Français uniquement, mais pourquoi pas, par la suite, et ça se fait beaucoup en ce moment, créer des versions totalement anglophone des titres aujourd’hui en Français. CINEMODE: A quand le clip de ton single «Pour lui plaire» ? THOMAS: C’est pour très bientôt, nous mettons tout en œuvre, pour le tourner à la fin de l’été. Nous travail- lons dessus en ce moment, c’est très excitant de s’imaginer au centre d’un clip et de pouvoir faire vivre le per- sonnage dans son environnement et sa vie quotidienne. CINEMODE: As tu un mot à dire a tes fans? THOMAS: J’aimerai les remercier pour tout le soutien au quotient. Aujourd’hui, si le projet avance autant, c’est parce que nous avons envie de les surprendre et de faire les choses en grand pour qu’ils puissent s’éclater autant que nous. Je leur fais pleins de bisous et leur donne rdv sur les réseaux sociaux pour vivre l’ex- périence à fond avec nous !! Facebook : http://facebook.com/tomflexpage Twitter : @TomFlexChanteur Site : hhtp://TomFlex.fr Un grand merci à Cinémode, Jason Edwards et bien entendu à Ludovic et toute notre formidable équipe. Interview réalisée à Paris dans le Seven Hôtel. Retrouvez aussi à la fin du mois une petite présen- tation de cet hôtel sur le site de Cinemode. «Un grand merci à Cinémode, Jason Edwards et bien entendu à Ludovic et toute notre formidable équipe.» CINEMODE: Qui se cache derrière Kelly? MARIE: Quand je ne suis pas dans le person- nage de Kelly, je suis plutôt timide et j’aime les choses simples. Je ne suis pas du tout comme cette pom-pom girl qui est autaine et très manièrée. CINEMODE: Comment as-tu rejoins le projet Tom Flex? MARIE: En fait le producteur Ludovic Baron m’a contacté pour passer le casting. Il m’a donc envoyé le titre ainsi que les paroles pour que je puisses m’entraîner à faire la garce. J’y suis allée et il m’a rappelé le lendemain. CINEMODE: Quelle était ta première pensée quand on t’as proposé le rôle de Kelly? MARIE: Je me suis demandée si j’allais réus- sir à faire la pom-pom girl américaine alors, je me suis mise devant le miroir et j’ai essayé de faire des mimiques de garce et puis j’ai pensé « pourquoi pas, c’est un projet déjanté, colo- ré, amusant alors vas-y !». Je suis contente d’avoir fait ce choix parce qu’on s’éclate dans cette aventure. CINEMODE: Tu es comédienne, que veux-tu exprimer dans ce métier? MARIE: J’aime l’idée de pouvoir interpré- ter plusieurs personnages, en décalage avec ce que je suis. Par exemple dans ce rôle, je joue une fille qui est à l’opposée de moi. Ce qui est vraiment amusant, c’est qu’en jouant ce personnage de Kelly, les gens pensent que je suis réellement comme elle dans la vie de tous les jours. Heureusement, le personnage va évoluer et ne restera pas toujours aussi «garce» ! CINEMODE: Dans quel école as-tu étudié pour être comédienne? MARIE: Et bien je n’ai pas étudié dans une école de théâtre. Depuis que je suis petite, je suis inscrite dans plusieurs agences et je passe des castings qui ont, certains, aboutis à des pubs (photos, vidéo) et j’ai toujours aimé jouer la comédie. Je fais aussi beaucoup de danse et ça m’aide énormément à m’exprimer et à m’extérioriser. CINEMODE: Que prépares-tu pour le futur? MARIE: Ca fait maintenant 3 ans je suis en formation professionnelle de danse. Quand je danse, je lâche prise, c’est une sensation in- descriptible et tellement forte... Dans le futur, j’aimerai vraiment être prise dans des compa- gnies, des comédies musicales, faire des tournées. C’est mon premier objectif dans la vie ! Avec le projet Tom Flex j’ai la sensation que je pourrai bien toucher mon rêve du bouts des pieds :) CINEMODE: Nous te souhaitons bonne chance pour la suite et que tes rêves se réalisent. Kelly Justamerica p.17 LUDOVIC CINEMODE: Du plus loin que vous vous souvene quel a été votre premier rapport à la photo? LUDOVIC: Eh bien en réalité mes premiers clich je les ai fait en studio il y a à peine 2 ans… Déjà gr phiste, on me fournissait les photographies pour q je les retouche, mais j’ai rapidement eu envie de fa mes propres photos pour m’exprimer pleinement m’approprier l’image entièrement. CINEMODE: Pouvez vous s’il vous plaît nous d pourquoi vous avez choisi la photographie plu qu’un autre médium ? LUDOVIC: La photographie est pour moi la façon plus simple et la plus rapide de m’exprimer artis quement parlant. Vous savez, ma plus grande am bition est de faire de grands films pour le ciném Mais le cinéma est un art qui prend énormément temps à mettre en place et qui nécessite des budge conséquents. J’aime créer, raconter une histoire av l’image, et je peux le faire aussi avec la photograph CINEMODE: Pourquoi ce besoin, que l’on resse chez vous, d’être dans le monde du graphisme et ne pas l’être ? LUDOVIC: J’ai ce besoin de gravir, d’avancer, dépasser mes limites. Je me bat chaque jour po ma passion et pour que mes rêves puissent deve réalité. Le graphisme, la photo, la réalisation, musique… partout où je pose un pied a un lie Je ne fais rien par hasard et j’espère être a sez malin pour aller là je pense être ma plac «J’ai ce besoin de gravir, d’avan- cer, de dépasser mes limites. Je me bat chaque jour pour ma passion et pour que mes rêves puissent devenir réalité» Photographe, Graphiste, C BARON ez, hés ra- que aire et dire utôt la sti- m- ma. de ets vec hie. CINEMODE: Si on vous offrez la chance de pouvoir tirer le portrait de n’importe qui dans le monde, qui choisirez -vous et pourquoi justement cette personne ? LUDOVIC: En fait c’est tellement compliqué à répondre que la question en devient géniale ! Je me laisses à rêver à tous ces visages de célébrités inter- nationales me suppliant de les photographier (Rire), et savoir sur quel visage je m’arrêterai pour appuyer sur le bouton ? Immortaliser cet événement impro- bable et en être heureux et fier ? Si je reste dans cette farce que je suis entrain d’imaginer, ne vaudrait-il pas mieux pour ma carrière, que je ne prononce aucun nom qui pourrait rendre jaloux les plus influant ? C’est qu’avoir un tel pouvoir peut être dangereux ! (Rire) Je pense que la passion m’amènerait vers le visage le plus marqué et l’histoire la plus touchante… Elle a touché à la célébrité enfant, en a subit tous les vices et s’est même perdu dedans. Emprisonnée dans ce monde qui a été d’abord fabuleux puis ruiné par les personnes malveillantes qu’attire ce monde de pail- lettes… Ce visage qui raconte tant de choses quand on creuse sous les retouches beauté des couvertures de magasines… Je parle de Britney Spears. Une cé- lébrité que beaucoup imaginent comme un produit marketing chantant en playback, ancienne pop star sans réel talent… Eh bien si on m’offrait la possibilité de photographier la personne de mon choix dans le monde, ce serait elle. Je l’admire, et j’aimerai dans une photo, lui rendre son âme qu’elle semble avoir vendu il y a bien longtemps au diable. CINEMODE: À quel moment précis avez-vous pris conscience de votre succès ? LUDOVIC: Je ne pense pas avoir vraiment du suc- cès, mais ça me flatte quand on pense le contraire. Difficile donc de répondre à cette question. Parfois on me reconnais dans le train, ou on me demande des autographes sur ma boite email… C’est peut être grâce à mon film « Help Me » qui a été vue plus de 1million 500.000 fois sur internet ou les quelques cé- lébrités que j’ai pris en photo qui me donne cette im- portance aux yeux de certains. Peut être que lorsque j’en serais à quelques gros films je ressentirai un réel succès, pour le moment je pense juste l’effleurer. ent de de our enir la en. as- ce. CINEMODE: A quoi ressemblera le prochain projet de Ludovic Baron ? LUDOVIC: Difficile de savoir quel sera le prochain temporellement car je développe quelques nou- veaux projets, un dans chaque domaine (cinéma, photographie, musique) tous plus ambitieux les un que les autres. Sur 3 projets en développement, 1 seul voit le jour concrètement donc il va falloir être patient avant de pouvoir en parler. Mais une chose est sûre, je mettrai toute ma passion à contribution pour que le prochain projet soit à la hauteur de mon ambition. CINEMODE: Où vous voyez-vous dans 10 ans ? LUDOVIC: Si les producteurs français restent aussi frileux sur l’investissement financier, je serai proba- blement à l’autre bout du monde. J’aimerai pouvoir réaliser des films dignes des plus grosses produc- tions hollywoodiennes. Ce n’est pas de la prétention, simplement une vocation. CINEMODE: Vous n’êtes pas simplement Photo- graphe et Graphiste, mais aussi réalisateur et pro- ducteur de musique des jeunes artistes. Avez vous vraiment encore une vie privé ? LUDOVIC: Oui bien sûr. Simplement c’est quelque chose que je préserve. Je n’en parle pas, ça me regarde. CINEMODE: Comment vous avez découvert Tom Flex? LUDOVIC: J’ai lancé un gros casting, où des cen- taines de jeunes chanteurs ont postulé. Une personne avec qui je travaille m’a dit qu’il fallait impérativement que je rencontre Thomas, un jeune chanteur qu’elle connaissait. Je l’ai contacté et il a passé l’audition. Le coup de cœur a été immédiat. Je l’ai convoqué dès le lendemain avec ses parents pour parler du contrat ! Tout c’est fait très vite. Réalisateur et Producteur DEEJ CINEMODE: P devenir DJ ? YANIS: L’envie ancien DJ , mienne très v cé à utiliser e Dance Ejay, je Maker , Cubas fin conclure qu LOOPS « éta harmonies , le ver. J’ai rejoins la musique es une sorte de l tous le monde découvrir à de productions ou gique. CINEMODE: T un autre pays? YANIS: Oui m sentiellement b (Amérique , An comme mon re qui a atteint ra et téléchargem Celui de Tom F teint les 25 00 4 jours. Les pa musicalement de nouvelle so CINEMODE: Q YANIS: J’ai be vague « David que cela ne re production. Re Antoine / R.I.O JAY YANIS S. Pourquoi as-tu eu envie de e m’est venue de mon père, sa passion est devenu la vite et très tôt. J’ai commen- et découvrir la musique avec e suis passer sur Magic Music se. Reason , Logic. Pour en- ue le logiciel Mao « FRUITY ais fait pour moi. J’adore les e piano et les sons qui font rê- s le monde de la musique car st un monde universel , c’est langage compréhensible pas e. Et ce plaisir de pouvoir faire es milliers de personne ces u Remixe est vraiment ma- Tu es déjà allé spinner dans ? ma promotion est souvent es- basé dans les pays étrangers ngleterre , Japon , Russie...) emix des BLACK Eyed Peas apidement les 300 000 vues ments dans le monde entier. Flex - Pour Lui Plaire qui a at- 00 téléchargement seulement ays étranger sont très cultivés et non pas peur de découvrir onorité. Quelles sont tes influences ? eaucoup été influencé par la d Guetta «.. Mais on va dire este pas mon modèle pour la emady / Christopher S / Dj O... Mon beaucoup inspiré car leur style reste joyeux , vivant et m’ont beaucoup ramené de chaleur dans le monde. CINEMODE: Est-ce que tu peux nous donner des exemples de sets qui ont vraiment bien fonctionnés ? YANIS: Beaucoup de Dj’s confirmeront le set qui marchera à tout les coups dans les gros clubs et pour les connaisseurs. NICKY ROMERO / AFROJACK / CHUC- KIE / R3HAB.. Restent les Dj’s Remixeur et producteur qu’il faut diffuser lors de ses sets. CINEMODE: Y-a-t-il des DJ que tu appré- cies particulièrement, lorsqu’ils sont aux mixes et qui te font revivre des choses ? YANIS: Je trouve que STEVE AOKI est le DJ à aller voir en Live. Ses musiques très percutante, son show complet (saut dans le public... Ect) sont vraiment osés et très amusants. Avicii est aussi un DJ qui grâce à ses mélodies et ses harmonies fait vrai- ment rêver. CINEMODE: As-tu d’autres conseils à donner aux autres DJ ? YANIS: Je conseille à tous les DJ,profes- sionnelle comme débutants. À ne rien lâcher, ne jamais baisser les bras et faire cette passion pour sois. Je pense que chaque DJ , producteur ou remixeur a son style bien à lui. Il ne faut pas hésiter a mettre en avant votre personnalité tous en restant humble. Pour plus d’information ou réservation, n’hésiter pas de lui rendre visite sur son site internet: http://www.yaniss.fr BOOKING MEDIA / CLUBS : +33 6 35 55 35 23 book.yaniss@gmail.com CINEMODE: Qu’utilises-tu comme casque pour la plupart de tes sets ? YANIS: Le casque que j’utilise est le Monster Beats by Dr Dre (Solo), mais je compte changer pour la version»by DA- VID GUETTA « beaucoup plus adaptée pour les DJ’s. p.28 Lisbonne, capitale lumineuse, s’étend le long du Tage et conserve le mystère de tous ceux qui y arrivent et en repartent. Avec vingt siècles d’histoire, c’est une ville qui navigue dans le temps, vibrante et cosmopolite. Cette ville pleine d’âme combine le charme de ruelles et chaussées de quartiers traditionnels comme Alfama et Mouraria avec l’animation des avenues mouvemen- tées et du nouveau centre urbain du Parc des Nations. La seule capitale européenne où le soleil se couche dans la mer s’avère être une ville de contrastes où l’histoire et la modernité cohabitent sur les berges du fleuve. Le Monastère de Jerónimos et la Tour de Be- lém jouxtent le Centre Culturel de Belém et le Musée Colecção Berardo. Les tramways peints couleur soleil constituent une façon originale de découvrir le cœur de la ville et les histoires qui s’y cachent. Les façades couvertes d’azulejos racontent d’innombrables his- toires dans une multitude de couleurs tandis que les pavés de la chaussée dessinent en noir et blanc des poissons, des fleurs, des sirènes et des oiseaux. Dans le Bairro Alto, un des plus anciens et des plus animés de la ville, les bars, restaurants et boutiques de design et de mode côtoient les bars à fado, où l’âme portu- gaise chante son destin. Non loin de là, le Chiado est l’un des quartiers les plus séduisants de la ville et le centre de sa vie culturelle, avec des théâtres, des li- brairies et des cafés littéraires comme la Brasileira, où le poète Fernando Pessoa vous attend sur l’espla- nade. À 20 minutes de Lisbonne, vous découvrirez Estoril et son atmosphère cosmopolite. À Cascais, ancien vil- lage de pêcheurs, les rues typiques accueillent des magasins de marques internationales et dans la ma- rina les bateaux et les yachts ancrés tanguent au gré du vent, en rêvant à leur prochain voyage. À deux pas de Lisbonne, le village romantique de Sintra est un espace perdu dans les brumes du temps. Son pay- sage conserve la magie des champs parsemés de palais royaux et de châteaux mystérieux. Votre visite ne pourrait être complète sans un détour par le Cabo da Roca, le point le plus occidental du continent eu- ropéen, où mère nature offre tous les jours un spec- tacle unique quand, à la tombée du jour, le soleil en feu plonge dans l’océan. Descendez le Tage jusqu’à son estuaire et lais- sez-vous éblouir à la vue des flamants roses et de la Réserve naturelle. Traversez le fleuve. Là, entre mer et montagne, le Parc naturel d’Arrábida vous convie à l’aventure des sports extrêmes tout vous en invitant à une méditation plus intimiste. Ne manquez pas non plus de visiter Setúbal et d’observer de près les dau- phins dans la Réserve naturelle de l’estuaire du Sado. Au nord de Lisbonne, Óbidos a conservé son charme médiéval au sein de murailles qui protègent de petites places et des ruelles de maisons blanches aux fenêtres fleuries. Ce village, où le château a été transformé en auberge, invite les esprits les plus romantiques et raconte des histoires de rois et de reines. Le long de la côte ouest, de petits villages de pêcheurs maintiennent vivace la tradition de la pêche à la senne de plage. Non loin de là, à Caldas da Rainha vous aurez l’occasion de profiter de la station thermale et des mu- sées et d’y acheter une pièce d’artisanat. Dans le Parc naturel des Serras de Aire et Candeei- ros, la roche est très présente dans le sol et sur les murailles qui séparent les terrains agricoles. Ce parc naturel ravira tous ceux qui aiment explorer l’inté- rieur des terres. Les grottes de formations calcaires y présentent des découpages capricieux. De retour à la ville de Leiria, vous pourrez découvrir la sapi- nière qu’ordonna de planter le Roi Dom Dinis au 14e siècle et dont le bois servit à construire les cara- velles qui un siècle plus tard participèrent à l’épopée des découvertes portugaises. Vous y trouverez aus- si le Sanctuaire de Fátima, l’une des principales ré- férences mariales au monde, un lieu de foi qui attire de nombreux pèlerins. Plus à l’est, Santarém, avec ses monuments, ses ruelles étroites, ses murailles et ses églises, contemplent les marais à perte de vue. À quelques kilomètres de là, à Tomar, le Couvent de l’Ordre du Christ, fondé en 1162 par les Templiers et, des siècles plus tard, siège de l’Ordre du Christ, associe, dans une architecture richissime, des traces romanes, gothiques, manuélines et maniéristes. Plus d’informations sur www.visitlisboa.com Lisboa Région p.17 Copyrighthttp://www.visitportugal.com C haque année, l’association « Onda Jovem » organise l’élection de la Miss Portugal au Luxembourg. La communauté portugaise résidente au Luxembourg, ainsi que les internautes, sont ainsi invités à élire leur représentante de la beauté et l’élégance portugaise. Les candidates ont répondu présentes, en compagnie de proches et amis, dès 13:30 à la Brauerei (Rives de Clausen) où notre jury les attendait. Après un premier passage en tenue de ville, 16 candidates ont finalement été retenues pour un passage en bikini. Le jury, com- posé entre autres de Sylvia Camarda et Nilton Martins, a finalement retenu, non sans peine, les douze fina- listes au concours Miss Portugal au Luxembourg 2013. Nous vous présentons dans la rangé du haut, de gauche à droite : Cindy Mendes, Vanessa Piteira, Vania Vieira, Cristiana Sofia Tavares, Jessie De Matos Simoes Dans la rangée du bas, de gauche à droite: Melissa Martins, Sandy Neves Boto, Liliana Paula Alves, Sofia Dos Anjos, Stephanie Dos Anjos, Sara Vendeiro, Andrea Durães Ana et Jacinta Dias, deux soeurs pleines d’éner- gies et de joies de vivre sont responsables du concours depuis la toute première édition en 2000. Le concours Miss Portugal au Luxembourg est une opportunité unique de goûter au monde de la mode et des concours de beauté. Les candidates inscrites suivront des cours de danse, appren- dront à défiler, participeront à des séances pho- tos et auront la chance d’être conseillées par des équipes de professionnels du monde de la mode. Pour la première fois, la présélection au concours Miss Portugal au Luxembourg s’est déroulée sous forme de casting au lieu d’une soirée dansante. Ne ratez pas prochainement la vidéo et le reportage entièrement consacré au casting. Rendez-vous sur le site http://www.missportugalnoluxemburgo.com p.31 CopyrightComitéMissPortugal/PhotographePauloLobo
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